Pneumopathie
Il y a des jours où on peine à se détacher de l' ouvrage en cours et on se surprend à souhaiter une petite maladie qui laisserait le temps de finir le roman du moment, de rabattre les mailles du gilet.
Et puis il y a la pneumopathie. Un bien grand mot pour pas grand chose dans mon cas, mais quand même quelques jours au chaud, au lit même.
Hélas, le tricot doit attendre, le roman aussi, le dvd de Persepolis fera des va-et-vients pour que je suive même si j' ai lu et relu la BD (désolée, je ne sais pas faire le pluriel dans les noms composés et je suis trop fatiguée pour chercher). Trop fatiguée pour téléphoner, se blogo-balader.
Paris aussi risque d' attendre. Et oui, j' attendais ce voyage depuis longtemps: un week-end chez ma soeur, avec sa pépette qui a du bien grandir en deux mois, avec le salon MCI et puis IE, le bon marché, l' entrée des fournisseurs. Cela dit, depuis que j' ai des corticoïdes, ça va beaucoup, beaucoup mieux. La preuve ? J' arrive à laisser un message, à priori sans microbes. Alors pour Paris, on verra...
En attendant, je vais prendre soin de moi au coin du feu; ça tombe bien, la montagne en face, pour ce que me laissent voir les nuages, est enneigée.
A bientôt et prenez soin de vous aussi !
PS: ouais, et un message entier sans tousser !!