C'était bien la peine de boucler les spartiates !
Ouais, ça valait le coup de se forcer à fermer chacune des boucles, de vernir les orteils, en épargnant la cheville "entorsée" depuis plusieurs jours. Ouais, ça valait le pet, parce que c'est sûr, ça donne un tout autre style à la silhouette ! Z' êtes d' accord hein ?
Dommage d' avoir loupé la photo, j avais fait un effort pour la mise en scène (sauf du côté capillaire), avec mon vieux baggy qui, un temps, tenait grâce à l' opération du saint esprit sous mes hanches et fait aujourd'hui la blague en "boyfriend" (moi aussi nini, ça m' arrive de lire ELLE), bien accroché au-dessus de mes hanches... Jolies chaussures et tout et tout, histoire de montrer que ce gilet-manteau phildar pouvait être "dégaine" (je viens de découvrir ce mot, il me fait rire). Presque assez chouette pour me réconcilier avec phildar.
"Presque" seulement parce que ce gilet en coton super lourd s'avère être assez chaud. Il ne sort donc que par temps frais, enfin, pas trop frais quand même: qui porterait des manches courtes sous la pluie, le vent, la tempête (en blanc qui plus est) ? Sortir ce gilet devient compliqué.
Un jour peut-être, je sortirai de mon ère "loose tricotesque" (ouais, pour certaines c'est seulement une période, et encore, c'est contestable, pour moi, le raté en tricot remonte à...toujours, on peut sortir le lexique préhistorique), mais rien n' est prévu pour le moment. Et ce n' est pas le gilet informe en point rivière actuellement sur mes aiguilles qui va me contredire !